L’islam a-t-il mis fin à l’esclavage et à l’exploitation sexuelle des prisonnières ?
L’islam par ses deux sources fondamentales (le Coran et la Sunna) a-t-il mis fin au système de la capture dans les guerres ?
L’islam a-t-il permis d’avoir des relations sexuelles (hors mariage) avec les prisonnières ?
L’islam a-t-il ordonné d’asservir les prisonniers de guerres ou de les libérer par quelques moyens comme les expiations ?
Les deux sources (le Coran et la Sunna) répondent sur les questions précédentes comme suit : L’islam a interdit l’esclavage et l’exploitation des prisonnières et a instauré un système concernant la capture, ce système interdit catégoriquement l’esclavage et l’exploitation sexuelle des prisonnières.
Mais la jurisprudence islamique qui domine la vie des musulmans a une autre opinion, elle permet d’avoir des relations sexuelles avec les prisonnières sans mariage et elle confirme l’obligation du bon traitement envers les prisonniers et les prisonnières de guerres et ensuite les libérer par différents moyens.
Nous pensons que la permanence de l’esclavage dans le monde islamique et la permanence de l’exploitation sexuelle des prisonnières par les transactions de l’achat et de la vente sont les preuves qui confirment que l’opinion de la jurisprudence islamique, qui est loin du jugement du Coran et de la Sunna, domine notre vie quotidienne.
Cette opinion contraire au Coran est encore présente dans les livres islamiques aujourd’hui, comme par exemple dans l’interprétation du Coran publiée par la présidence des affaires religieuses en Turquie sous le nom « La voie du Coran ».